Cap Vert
du 19 au 31 décembre 2009

Santiago

Taxi: le guide disait 500 escudos le trajet aéroport-Praia, 1000 escudos le même trajet la nuit. Notre taxi nous a fait payer 1500 escudos le trajet à 3 heures du matin, arrivant juste, et ne sachant pas si le guide était à jour, on n'a pas négocié. Le trajet du retour en journée nous a bien été compté 500 escudos.


Voiture: location d'un 4x4 pour 5200 escudos par jour, à l'agence Girassol, la maison orange de l'autre côté de la rue en sortant de l'hôtel Santa Maria à gauche.


Hôtel Santa Maria: hôtel confortable, avec clim, télé, salle de bains, minibar et une super vue depuis la terrasse de la salle du petit déjeuner au 4ème étage.


Fogo

Taxi: trajet aéroport ou Sao Felipe vers Cha de Caldeira: 5000 escudos. C'est à plus de 30 km et ça dure bien 1h15. Jorge nous a emmenés, il est très sympa. Il organise aussi des tours de l'île à la journée.

Pour le retour de Mostérios à Sao Felipe avec arrêt et attente à Salinas, ça nous a coûté 5500 escudos.


Randos: plein de randos à faire, certaines peuvent se faire seuls, d'autres avec les guides du village. Ils connaissent bien leur boulot. C'est possible de faire tout type de balade, de la balade tranquille au petit pic de Fogo, à l'ascension du volcan, en passant par une via ferrata ou le tour de la Caldeira en 2 jours ou encore de l'escalade.

On a d'abord fait la balade en fond de caldeira en passant par le petit pic de Fogo seuls. Impossible de se tromper pour le petit pic. En revanche pour le grand, y a moyen non pas de se perdre mais de pas prendre le bon chemin et d'y passer beaucoup plus de temps ! On a donc fait la montée au grand pic de Fogo avec Cécilio, très sympa, et qui a gentiment supporté notre rythme. Puis la rando pour descendre à Mosteiros avec José, un frère de Cécilio. On devait la faire avec Zé mais il n'est pas venu. On s'était probablement mal compris, ou ça ne l'intéressait pas finalement de faire seulement la descente et de pas organiser tout le trip avec le retour en voiture jusqu'à Sao Felipe. Mais comme on savait pas qu'il pouvait le faire, on s'était déjà organisé avec Jorge avant... En tous cas Mustapha nous a trouvé un autre guide sans problème !

Finalement, la descente vers Mosteiros peut se faire seul sans difficulté majeure: il suffit de suivre la petite route pavée qui longe le bord des falaises de la Caldeira vers le nord, au bout une petite pente amène à un poste de garde, on rentre dans un parc, c'est 100 escudos par personne. On continue le chemin pavé, il y a un croisement, il faut prendre à droite (des pancartes indiquent Mostérios) puis continuer jusqu'à "la maison du président", une résidence de campagne d'un ancien président. Là, au gros arbre au milieu de la route, il faut tourner à droite pour prendre un petit chemin (pancarte indiquant Mostérios). C'est long et ça finit par déboucher sur un chemin en terre. Là c'est à gauche. Puis il faut aller à droite à travers le village et on rejoint une place avec un gros arbre. C'est là qu'attendent les taxis généralement car le reste de la descente vers Mostérios se fait sur la route pavée et ne présente pas grand intérêt.


Hébergement: on devait loger à Pedra Brabo, une magnifique maison en pierres taillées du volcan. A notre arrivée il semble y avoir un problème. La femme qui nous accueille trouve bien notre nom dans ses réservations mais visiblement l'hôtel est plein. On patiente car le propriétaire est au téléphone. Patrick a bonne presse partout, mais nous on ne le trouve pas très acueillant.

On est resté en retrait pour ne pas le déranger dans son coup de fil. Il raccroche, il y a plusieurs échanges entre lui et la femme, il n'est pas très agréable avec elle, il finit par lui demander de nous demander de s'approcher. Il a l'air d'aoir un peu top bu. Il explique qu'il y a un problème de réservation et que soit il nous envoie ailleurs, soit il nous prépare une chambre avec des matelas par terre, pour une nuit seulement. On est d'accord pour la 2ème solution, il se lève et s'en va en voiture sans un mot de plus. Il a du mal à manoeuvrer son pick-up pour sortir...

On attend... La femme s'occupe de faire préparer notre chambre. Quand c'est fini, elle nous montre, il n'y a qu'un matelas par terre, la chambre est de toutes façons trop petite pour en contenir un autre.

La femme ne parle pas français ni anglais, nous ni portugais ni créole. C'est Jorge qui nous avait amenés ici puis Cécilio venu proposer ses services, qui nous aident et font office de traducteurs. On est désolé pour la femme mais on lui explique que les enfants sont grands et que ce n'est pas suffisant.

Cécilio appelle la casa Marisa où voulait nous envoyer Patrick, ils ont de la place, ils viennent nous chercher dans 5 minutes. Là on est super bien accueilli par Marisa et son mari Mustapha. La maison est plus simple mais très correcte et propre, l'accueil est très chaleureux, Marisa est aux petits soins pour nous et a toujours une solution quand on a un problème, elle cuisine d'excellents petits plats ! Voir son site WEB pour plus d'informations !